Photographier un cercle de femmes et des Constellations familiales
Qu’est ce qu’une constellation familiale ?
Nous sommes au mois de janvier d’une nouvelle année, et je me rends compte que je ne vous ai jamais parlé de Samira par ici, ni des cercles de femmes que j’ai eu l’occasion de photographier à ses côtés. Cela fait pourtant plusieurs années, alors il était temps de présenter cette femme inspirante. Dans cet article, je vous invite à rentrer dans le dernier cercle que j’ai pu immortaliser, ainsi que les constellations familiales en février 2024. Un nouveau groupe de 12 entièrement féminin était là pour libérer des trauma, transgénérationnels ou non. Effectivement, avant de vous laisser parcourir avec émotions les photos ci dessous, il serait préférable de vous donner la définition des constellations familiales (“constel” dans le jargon spirituel :p ). Les Vertus de ce Soin sont multiples : libérations des blocages et des schémas de répétitions erronés qu’ils soient sur le plan transgénérationel, karmique, ou de cette vie. À chaque début de cercle, l’une d’entre nous écrit sa problématique avec l’aide de Samira pour cerner certains blocages. Des symboliques vont êtres incarnées avec des objets qui les représenteront (vous verrez sur les photos, une poupée, des ciseaux, quelques talismans..). Chaque femme se voit ensuite attribuer un “rôle” et tout peut se mettre en place. La constellation de groupe peut durer entre 1h et deux heures. Les émotions sont importantes et il était important de se re-connecter au moment présent par la suite.
Photographier des constellations familiales.
Et moi dans tout ça ? Être l'œil. Être l'œil qui voit tout. Qui ressent tout. Qui enregistre tout. Les moindres détails, les moindres palpitations de peau, le moindre cri muet. Ce week-end là, j'ai perdu pieds. Je ne savais plus qui j'étais, où j'étais, où je devais aller. À l'intérieur du cercle. À l'extérieur. Tout était flou, vacillant, comme les flammes de nos bougies. Au son du tambour, il a fallu trouver sa place. Je dois avouer que rien a été évident pour moi sur ce week-end là. J’étais là pour travailler, pour des raisons professionnelles, mais comment travailler alors que tout mon corps et mon âme tremblaient ? Au milieu de ces moments intenses, il y a eu des vrais épiphanies que je vous laisse découvrir par ici : des bains sonores avec les bols de cristal, de la médiation, des marches pour aller voir l’Océan, des clémentines englouties dans la cuisine commune.. Merci à toutes ces “ames-i” croisées pendant ces jours là.. Merci Samira pour ta confiance.
